En partant du stéréotype du "Français moyen " vu par les touristes de base…Mais pas de baguette ni de "litron" de rouge qui tache !
Selon moi et sans chauvinisme aucun (pour une fois) ou presque, et bien que les goûts et les couleurs ne se discutent pas, quoi que cela peut amener à des soirées débats passionnantes, je le trouve fort sympa mon super FRANCHOUYARD, il a même de la classe !
-Béret : Couvre-chef à la fois typique et parodique fait de feutre et d’une couronne de cuir illustre. Portés haut sur le front, droit pour les militaires, ou avachis en longue visières pour les berges et même vissés comme un bonnet pour les benêts. Il a été mis en valeur par la jolie Michèle MORGAN, dans le film ".Le Quai des Brumes " Alors c'est la preuve que bien porté il peut être élégant et raffiné.
-Moustaches : L’histoire a codifié le port ou non de la moustache et façonné les modes.
Au début souvent synonymes de virilité, et font écho au statut du patriarche et du savant. En France, sous Charlemagne, elles se portaient épaisses et longues. Ce n'est que plus tard, au XVIe siècle, qu'elles s'affinent et se taillent en pointe. Deux siècles plus tard, ces attributs pileux reviennent en force chez des hommes qui en prennent grand soin : on les taille, les parfume et on leur fait prendre des formes particulières à la cire, de crocs. La tendance est aujourd'hui à la barbe de trois jours, berck ! faussement négligée, et aux boucs finement taillés entourant la bouche et le menton, (déjà mieux). Barbes et moustaches sont aujourd'hui des accessoires que l'homme aime porter, et changer grâce au rasage (toujours plus de lames sur le même rasoir, pourquoi pluisque de toue façon ils doivent recommencer le lendemain) ou à la taille, est maintenant détaché de toute portée symbolique.
-Nœud pape : Si le nœud papillon, enfin, nœud pap’ pour les intimes tient bien entendu son nom en français de la forme qu’il évoque, son arbre généalogique est difficile à reconstituer. Son histoire serait intimement liée à celle de sa célèbre cousine la cravate, mais également à celle du jabot ainsi qu’à celle du smoking…
Depuis plus d’un siècle, il est passé par différentes phases de notoriété : apanage de la bourgeoisie au début du siècle, puis accessoire désuet préféré à la cravate par quelques irréductibles convaincus ou simplement par nécessité, il a effectué dès le milieu des années 2000 un retour triomphal. Poeté aussi bien par les hommes que par les femmes. Mode oblige !
Et hop ça c'est fait !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire